Les 10 mots de la première année en école de commerce après une admission parallèle.


Communauté – Les écoles de commerce se définissent avant tout comme des communautés. Elles valorisent au maximum les travaux de groupe, l’adhésion à des associations et plus globalement les évènements de campus. Par exemple l’EDHEC rayonne notamment à travers sa course croisière EDHEC.

International – Les écoles de commerce se veulent au maximum ouvertes sur l’étranger. Certaines optent carrément pour des campus à l’étranger – l’ESCP Europe qui dispose désormais de cinq campus en Europe, l’ESC Toulouse à Barcelone ou l’ESC Bordeaux à Dakar – et toutes nouent des partenariats à l’international et accueillent de nombreux étudiants étrangers.

Opportunités – Les écoles offrent plus ou moins de choix en matière pédagogique. Ainsi si l’ESSEC se caractérise par une flexibilité quasi absolue de son programme, HEC impose en première année cours et emploi du temps. Nombre d’entre elles mutltiplient les offres de double diplôme ou de partenariats. Par exemple l’ESCP Europe s’appuie sur ses campus associés (notamment en Asie et au Maghreb) qui favorisent les échanges humains et intellectuels.

Profil – Après une admission parallèle en première année, il est important de réfléchir au profil que l’on se souhaite se donner. Intégrer une école de commerce donne en effet des opportunités qu’il serait dommage de dilapider par des choix de stages et de cours non cohérents.

Entreprise – Tout part de l’entreprise et tout revient vers elle. En école de commmerce, l’étudiant doit apprendre à construire toute logique pour et par l’entreprise. Enfin n’exagérons pas, l’Etat est aussi évoqué… à travers l’impôt !!

Encadrement – Les écoles de commerce chouchoutent leurs étudiants. Ainsi la disponibilité des professeurs, le dynamisme des services de relations entreprises et internationales ou encore les équipements mis à disposition (bibliothèque, ressources en ligne, sites communautaires, rencontres avec des entreprises, forum de recrutement, etc.) atteignent un niveau élevé.

Frais de scolarité – C’est le pendant de tous ces avantages, une école de commerce coûte cher. Il faut débourser entre 8 000 € (ESC Rouen) et 9 000 € (ESSEC) pour une première année dans les meilleures écoles de commerce.

Studieux - Il est coutumier de dire que faire ses études en école de commerce est de tout repos. La réalité peut être bien différente. Entre les cours de mise à niveau, les diverses présentations ou les recherches de stage, vous devrez accepter de travailler.

Anglais – On ne dit pas comparer mais  « benchmarker » ; on ne dit pas « être synthétique » mais « straight to the point ». Bref, intégrer une école de commerce nécessite un anglais… fluent !

Chiffres – En école de commerce, on manie logiquement les chiffres. Finance, comptabilité ou contrôle de gestion sont autant de domaine où le nouvel étudiant admis – surtout s’il est issu de filières littéraires – devra faire ses preuves. A cet effet, les écoles mettent généralement en place des cours de mise à niveau ; c’est par exemple le cas à l’ESSEC ou à Audencia dans des domaines comme la statistique, la finance ou la comptabilité.

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